Alexandra Henrion-Caude et leurs mots comme des étoiles jaunes

J’ai toujours été fasciné par les détenteurs de vérité qui,
débarrassés du doute, peuvent se permettre de se jeter tête baissée dans tous les combats
que leur dicte la tranquille assurance de leur certitude aveugle.
Pierre Desproges

Les apprentis sorciers d’Alexandra Henrion-Caude, le bouquin qui fait jaser la « Germanopratie »… Poussée par cette qualité si particulière, celle que en te moquant de toi-même, tu as surnommé ta curiosité de Madame Michu, tu l’as lu en trois heures. Impulsivement, tu as décidé illico de le chroniquer. Résultats ? Cinq jours d’essais ratés. Pas mauvais, mais insipides. Tout y est, sauf ton empreinte. Tu en as ras-le-bol. Tu te trouves nulle. Ta colère s’est fait la malle, cédant la place à la résignation. Tu te convaincs qu’il faut mieux y renoncer. Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas, comme on dit populairement. Et puis d’un coup, ça vient. D’un trait. Et voilà la chronique : 

« On vit une époque formidable ! Formidable je vous dis ! C’est marche ou crève. « Tu penses comme moi où je te flingues ! » T’es antivax, anti machin et anti truc ? Non. Simplement, tu doutes. C’est quoi, c’est qui ce coronavirus ? Il est si doué par rapport à toute sa fratrie corona, tellement premier de la classe, que tu te dis que ce n’est pas possible, qu’il a dû se prendre un shoot d’IA ou sniffer un petit gain de fonction. Bref un truc qu’il l’a fait tomber de sa boîte de Pétri et prendre la tangente avec écrit dans son ARN, la volonté de conquérir le monde. Tu le regardes s’infiltrer dans les corps et dans les esprits. Et tu vois le monde se transformer. Se cloîtrer, mais tu ne mets pas Mamie et Papi à la cave. Tu l’écoutes compter les morts. Tu te dis qu’un virus, ce virus SARS-CoV-2 – que de surcroit personne à ce jour n’a réussi à isoler -, peut rendre l’humanité, complètement cinglée. Pas toi. Tu écris, même si tu te dis parfois : à quoi ça sert ? Tu vois la peur contaminer les cœurs envenimer les neurones. Effeuiller la liberté. L’amputer de tous ses pétales, à tel point qu’aujourd’hui, il n’en reste que le souvenir. Un autre goût. Une mélancolie. Tu enrages. Tu as envie de tout péter. Comme une minorité, tu essaies de te maintenir à flot, de te tenir au parfum. Les toubibs n’ont pas le droit de soigner, sauf de nous trouer l’estomac à coups de doliprane et les sinus, sous les assauts répétés d’un écouvillon. Tu t’en fous. Tu te protèges et tu te soignes via à la médecine holistique. Les tiens aussi. De toute façon, tu as une santé de percheron. Tu tournes en rond. Tu te demandes quand ce cauchemar va finir. La plupart attend le miracle. Toi pas. Fébriles, ils attendent un putain de vaccin qu’on leur vend comme la clef du monde d’après et qui va les ramener à la vie. Celle d’avant. Mais pas tout à fait. La rapidité de la trouvaille et de sa fabrication te titille. C’est tellement rapide que s’en est suspect. Tu te poses des questions sur le génie de cette injection génique chimérique, sur son ARNm modifié et sur sa pote transgenre la protéine néo-synthétisée spike. Espèce de complotiste va ! La seringue, tu la laisses aux autres.

Une autre farandole des fous commence. Celles des vaccinés et des non vaccinés. Rupture consommée, un nouveau monde vient de naître. Monstrueux, ignoble. Futuriste. Et sans retour. Tu penses à l’invention de la roue, à la découverte du feu quand le progrès était encore le synonyme fallacieux du bien-être pour tous. Tu notes les regards suspicieux. Tu es de la seringue ou tu n’en es pas ? Tu les regardes retourner au McDo, s’éclater en terrasse, partir en voyage. N’importe où. Loin. Accepter tout et n’importe quoi comme un ersatz de liberté. Troupeau docile. Troupeau masqué. Troupeau conquis. Tu les vois se soumettre. Et d’autres mourir soudainement. De myocardites, d’AVC, d’arrêts cardiaques ou avoir les règles qui se tarissent ou coulent en Niagara de sang. Un éventail de maladies en mode « fast and furious », aussi effarantes qu’improbables,  à tel point que la médecine ne sait même plus où elle a foutu son slogan hippocratique Primum non nocere, secundum cavere, tertium sanare – « Ne pas nuire, être prudent, guérir. » On te dit que tous ces morts, même ceux que l’on a euthanasié à coups de Rivotril, c’était pour te protéger. Tous vaccinés, tous protégés. C’est le bénéfice au prix du risque. On t’encourage pour décourager thromboses, arrêts cardiaques et cerveaux qui se font la belle, de ne plus lacer tes chaussures, de ne plus manger de mozzarella, de ne plus te doucher. De ne plus faire l’amour, ça, ils n’ont pas osé. Mais de t’enterrer en loucedé, si.

Et toi, tu es là, avec tes questions sans réponses. Les gagnants, toujours les mêmes depuis des siècles, du premier chef de guerre qui a gagné la plus grosse médaille par la grâce de laquelle il s’est proclamé roi, empereur ou dictateur jusqu’à nos présidents qui trouvent leur justification dans la boîte de Pandore que sont devenues les urnes démocratiques, protègent jalousement leur fief. L’Histoire, c’est eux qui l’écrivent. Toi, le perdant, c’est bosse, trime, paie, meurs. Tu n’as pas ton mot à dire. Le Droit, c’est nous. La vérité des faits devient sous leur plume, le mensonge de toutes leurs infamies. Leur justificatif souriant qu’ils te font cyniquement gober comme une potion magique. Le peuple, ils s’en contrefoutent. Hier comme aujourd’hui. Tu es juste là pour qu’ils puissent péter dans leurs draps de soie. Toi, tu es la chair de leurs canons. Et en 2022, comme dans les apprentis sorciers de Mickey, tu es à leurs yeux un porteur de seaux d’eau, les fameux balais en proie à une danse frénétique pour servir les intérêts de quelques-uns. Des centaines de balais clonés. Pressés, pressurés jusqu’au trognon. Une métaphore covidienne !

Tu continues avec obstination à te poser des questions, à chercher des réponses. A vouloir comprendre. C’est ton taf de lanceur d’alertes. Tu t’imagines comme un pécheur qui, d’un geste gracieux, lance sa ligne pour ramener non pas du menu fretin, mais des poissons. Des gros qui se cachent dans la vase. Tu t’entêtes d’autant plus qu’en 2007, tu as écrit un pavé de huit cent pages sur l’histoire des vaccins. Cinq ans de recherche. Des piles d’études cliniques et de bouquins sur ton bureau. En anglais, espagnol et français. Tu l’as autoédité en espagnol. Récemment, tu t’es mise à le traduire en français et à le réactualiser.X Parce que vraiment, tu en as plein le cul de toutes leurs conneries. Tu te rends compte en vérifiant ses références, autrement plus fouillées et lisibles que dans le livre Les apprentis sorciers de Alexandra Henrion-Caude qui se contente d’une liste d’adresses web, que les choses ont empiré. Ce que l’on pouvait encore dire dans ces années-là sur les vaccins est désormais censuré sur la toile. Le SV40, un virus du macaque Rhésus qui a contaminé, au début des années 50 et 60, le vaccin Salk contre la polio et dont on avait reconnu qu’il était cancérogène pour l’homme, et bien il ne l’est plus.1 C’était une fake news. Ou plutôt non, un fait, une réalité qui a seulement changé de paradigme, celui de la doxa scientifique actuelle vs Big Pharma.

Aujourd’hui, remettre en question les vaccins est devenu tabou. Presque un inceste intellectuel. Claude Bernard avait bigrement raison lorsqu’il disait : « celui qui fait un système ne veut pas changer sa théorie. Il aime mieux modifier les faits. » Ta formation scientifique, mais surtout ton côté frondeur, contestataire, désobéissant – appelle ça comme tu veux – , boostent d’autant plus ta curiosité que les « lépreux de la science » s’accumulent dans les lazarets, construits à cet effet par les cloportes inquisitoriaux du wokisme. Cette nouvelle religion de la déconstruction de l’humanité qui écorche à vif l’humain pour en faire un être nouveau, ressemblant à tout et à rien, mais si, à un mutant qui casse les limites physiologiques de sa peau, pour se transformer en ce qu’il veut, quand il veut, comme il veut. Même depuis le berceau aux dires des forcenés du militantisme LBGTQIA+. Chacun ses choix ! Mais tu trouves que leur insistance exhibitionniste est un tantinet totalitaire.

Pendant ce temps, encagé dans ces léproseries de la bien-pensance, le professeur Luc Montagnier, Nobel de médecine en 2008, est jeté sans hommage dans la fosse commune des parias et enterré à la sauvette. Comme en son temps, Michel Servet, premier découvreur de la circulation sanguine. Ou Semmelweis, inventeur de l’asepsie. Il mourut à l’asile pour avoir suggéré à ses collègues de se laver les mains avant de toucher un patient. Tu souris ironiquement en pensant qu’il aurait adoré le gel hydroalcoolique. Ou encore Romain Gerardhi, pour avoir dénoncé dans son livre Toxic Story, la toxicité de l’aluminium vaccinal. Tu penses à tous ces suspendus anonymes, au personnel soignant maltraité, à ces médecins rayés de l’ordre, à ces dentistes et pharmaciens, à ces salariés de structures médico-sociales, à ces pompiers mis à pied… Tous ces Suspendus qui bizarrement t’évoquent immanquablement le premier vers de la La ballade des pendus de Villon : « frères humains qui après nous vivez... » Tu félicites silencieusement et chaleureusement le geste d’Alexandra Henrion-Caude qui leur reversera entièrement les bénéfices de la vente de son livre, au contraire de la plupart de leurs propres collègues qui les ont rayés de leur solidarité. Et tu te dis que l’ignominie est décidément la fille des hypocrites. Ceux qui ont le ventre rempli et les couilles molles.

Et tu continues à chercher tes propres réponses, même si au fond tu sais que ce ne seront souvent qu’interprétations subjectives, selon qui les écrit et où elles sont publiés, la presse scientifique indépendante n’ayant pas bonne presse auprès de l’officielle. Comme le dogme vaccinal est devenu ta spécialité, tu t’intéresses aussi aux marges. C’est alors que tu lis Les apprentis sorciers, ce bouquin qui fait le buzz, écrit par une dissidente élégamment bon chic bon genre, toujours souriante. Une généticienne de renommée mondiale, spécialiste de l’ARN. C’est le bandeau qui t’a attiré : tout ce que l’on vous cache sur l’ARN. Et justement tu trouves que l’on te cache trop de choses. Tu sais qu’un vaccin peut-être une arme biologique redoutable. Le fameux secret défense résonne comme un indice, d’autant plus que la fanfaronnade « Nous sommes en guerre » du kéké présidentiel Macron y prend alors un tout autre sens. De plus, tu voues une passion (entre autres) pour la biologie, l’histoire des maladies, les virus et bien sûr, l’ADN et l’ARN. C’est le seul chapitre que tu as relu deux fois. Le reste tu connaissais. Parfois mieux que l’auteur elle-même. Tu te dis que tu vas peut-être le chroniquer. Oui ou non. Tu hésites. Et puis par hasard, tu lis sur twitter qu’elle quitte les réseaux sociaux. Qu’elle en a marre de se prendre des seaux de merde sur la poire, tous les jours.

Pourquoi cette haine envers cette femme ? Tu trouvais cela plutôt généreux qu’elle partage son savoir avec des milliers de lecteurs, tout comme tu trouvais sain que son propos pose les prémices d’un débat contradictoire avec ses pairs. C’était sans compter sur les embusqués du système, scientifiques, médecins, journalistes, fact-chekers, consultants, et autres bretteurs de l’opinion publique. Une bande de pieds nickelés peu soucieux d’argumenter, mais si, inculture oblige, de discréditer « ad hominem » l’auteur, non pas sur ce qui fonde sa pensée,  mais sur ce qu’ils supputent de sa personne. Délateurs minables. Opération nettoyage conclue. Et basta !

Là, tu as eu sérieux les boules. Mais pas cette colère qui te fait un nœud dans l’estomac ou t’inspire carrément des envies de meurtre. Non, juste une déferlante de honte, de celle qui te donne l’envie que la terre t’engloutisse, tellement l’indignité humaine, de par sa lâcheté, t’est insupportable. Tellement tu ne supportes pas que l’intelligence de qui que ce soit, et quoique l’on pense de la personne, soit piétinée par cette engeance de collabos, au demeurant fort opportunistes. Au moindre vent fort, ils parjureront leur propos et retourneront avec une facilité désarmante, qui sa blouse blanche, qui son stylo, qui son homélie confessionnelle. Pour la plupart, ils sont souvent de gauche. Une gauche fantasmée qui n’existe plus. La leur, la nouvelle, est de plus en plus infusée au wokisme, bien qu’ils n’osent pas encore faire leur coming-out et de se réclamer de sa transcendance supposément intellectuelle !

Unis par la convergence de la lutte, comme des hyènes, ils sont sortis en bande. C’est plus rassurant. On y roule plus a l’aise des mécaniques, chacun y allant de sa formule assassine, à qui pissera le plus loin. Tout d’abord « nasser » la victime et ses lecteurs.
Des mots comme des étoiles jaunes. Antivax, complotistes, conspirationnistes, covidosceptiques qui va souvent de paire avec climatosceptiques, extrêmistes de droite, sectaires, crapules fascistes, terroristes intellectuels, réactionnaires, mystiques de bazar… Avec une dédicace spéciale pour Alexandra Henrion-Caude : catholique traditionnaliste et quelques mentions particulières : folle, hystérique et allumée, adjoignant à son curriculum-vitae la mention infamante de « ancienne généticienne » et de « ex-Inserm », où elle a fait l’essentiel de sa carrière comme directrice de recherches, pour bien marquer son excommunication de cette  institution.

Et chacun – avec l’accord tacite de Macron et son slogan scabreux « J’ai très envie d’emmerder les non vaccinés », ce qu’il n’a pas manqué de faire -, de trousser plus ou moins le même refrain !
– Des journalistes spécialistes en tout, et surtout en rien, ont publié des articles aux titres parfois vertigineux de mesquinerie et d’inculture. Ainsi dans Le Parisien – « La vaccination selon Jésus » -, L’Express – « L’art de tordre les faits scientifiques », Libération – « La Fnac, agitateur de complotisme » – , Franc tireur – « Le mensonge vend » -, entre autres bréviaires du marketing de la science covidienne.
– Epidémiologistes, infectiologues, rhumatologues, cardiologues, cancérologues, physiologistes, urologues, statisticiens, etc, se sont plaints de la médiocrité des connaissances de l’inculpée. Quel culot de s’approcher de cette divine injection génique expérimentale et de son Saint Sacrement, l’ARNm ! Après tout, que connaît-elle de l’ARNm, elle qui n’a étudié que les micro ARN, « régulateurs fondamentaux » qui « contrôlent la multiplication et la croissance des cellules, le développement de l’embryon, la différenciation des organes et la mort des cellules. » Tu as failli t’étouffer de rire devant la stupidité de l’argument en songeant à Pasteur qui n’était ni biologiste, ni médecin, mais juste un médiocre chimiste.
– Des facts checkers, tels Julien Pain ou Tristan Mendès France, Rudy Reichstadt, dont les connaissances en génétique doivent occuper un recoin obscur de leur cerveau, ont fait des gorges chaudes d’Alexandra Henrion-Caude, depuis leur résidence secondaire, les réseaux sociaux.
– L’hallali manquant de panache, tu as vu les poulpes de plateau, les inénarrables Michel Cymes, Laurent Alexandre et Jérôme Marty, tous branchés du stétho, venir exhorter les non vaccinés à revenir à la raison, tout en priant, plus ou moins cavalièrement, Alexandra Henrion-Caude de bien vouloir la fermer ou encore d’exiger qu’elle soit censurée. Sans oublier évidemment, les Blaks Rocs de programmes, oscillant entre la culture et la téléréalité, qui se tapent l’incruste dès qu’il y a polémique à l’horizon. Bien sûr, ce ne sont pas ceux des rues, cagoulés et casseurs dézingués. Non ceux-là sont plus anodins. Pas en costume Armani non plus, mais avec cette désinvolture dans le vêtement qui te laissent accroire qu’ils sont cool. Presque sympas. Et puis tu les écoutes et tu te dis qu’ils ne valent pas mieux que ceux du Château élyséen, fringués de costumes bleu ou gris, qui te prennent plus franchement pour un con. Eric Naulleau est de la même veine prétentieuse, même s’il a le mépris plus soft. Un monsieur Je sais tout pour qui Alexandra Henrion-Caude « ne dit que des conneries ».2

Tu tapes sur Google, la litanie des insultes est longue. Tu abandonnes. Et puis tu découvres qu’Alexandra Henrion-Caude a été, en quelque sorte adoubée par l’humoriste Jean-Marie Bigeard et par l’ex-chanteur des années 80, Francis Lalanne, que la Covid a sorti des limbes de l’oubli. Tu te dis que ce n’était peut-être pas le coup de com’ du siècle ! Pas plus que de serrer la pince à Colin Powell, le mec qui a brandi un tube à essai en 2003 devant le Conseil des Nations Unies, jurant qu’il tenait là la preuve vivante que l’Irak développait des armes de destruction massive. Tout le monde fait des erreurs, tu le sais. Mais il y en a certaines qui sont plus difficiles à digérer que d’autres.

Néanmoins tu te dis que cette démolition en règle de la personne, cache certainement bien autre chose qu’un désaccord sanitaro-scientifique. Mais quoi ? Tu l’ignores. Quel est donc son crime de lèse majesté, te demandes-tu alors ? Si ses détracteurs ont raison, quel est leur intérêt de se prendre le chou parce qu’elle s’interroge sur cet ARN messager synthétique que l’on a inoculé sous la peau de millions de gens ?
C’est maintenant un secret de polichinelle. Il ruine le système immunitaire, ne protège absolument contre rien et son inefficacité se révèle au fil des mois, inversement proportionnelle  aux dégâts qu’il occasionne. N’appartenant pas à la bibliothèque cellulaire de nos organismes aussi « pesticidés » et immunodéprimés que la Terre, ces derniers sont incapables de décrypter la protéine Spike artificielle, qui en outre s’immisce dans chaque recoin de nos corps, autrement que comme une intruse dont il faut se débarrasser ou… en crever. 

What’s else ? On nous aurait menti sciemment ? Pourquoi cette implacable omerta ? Tout cela serait pensé et programmé depuis des années ? La rumeur court sur la dépopulation nécessaire. Faire de la place pour sauver la planète. Craignent-t-ils que leur supercherie assassine ne soit découverte ? Et parce que l’on ne contrôle, ni ne prévoit jamais tout, que la vindicte populaire les fassent cramer sur des bûchers ? Tu ne sais pas. Ce que tu sais est que si les conséquences de cette pseudo-vaccination, cet acte gravissime pour l’organisme des vaccinés – et ce, quel que soit le vaccin -, sont pour l’instant inaudibles, elles ne le sont pas en termes capitalistiques pour les laboratoires pharmaceutiques, Pfizer, Moderna & Co, si l’on en croit la course fiévreuse et féroce qui se joue dans les cornues : ARNm contre le paludisme, les mélanomes, certains cancers, la bronchiolite, le Zika, la rage, le VIH et les cytomégalovirus. Liste ouverte à tous les délires ! On fait même pousser de l’ARNm sur les plantes. On en vaccine le bétail et les animaux de zoo. On en diffuse par spray sur les patates et autres légumes en substitution des pesticides. On pique même le cul des vaches afin qu’elles produisent du lait immunisant contre le Covid !2 Quand les Big Pharmas n’arrivent pas à te fourrer leur potions par la porte, ils essaient de te les refiler par la fenêtre ! Le génie humain est souvent une vraie plaie.

Alors oui, tu es inquiète. Pas seulement pour cette damnée injection qui n’est que l’épicentre d’un autre phénomène tout aussi grave, si ce n’est plus : ton monde est en pleine mutation. Tu as l’impression de te pencher sur un cadavre en décomposition et ça pue. Mouches nécrophages, asticots, liquides putrides… Agonique, il accouche d’un monde nouveau. Processus monstrueux avec au programme la destruction de l’humain, ou plus exactement de l’Humanité telle que l’ont connue les générations, nouvellement promises à l’euthanasie rédemptrice, la tienne, celle de tes enfants et de tes petits enfants. Tu les observes, ils jouent dans le jardin. Immatures, heureux. Outrageusement vivants et insouciants.
Le ciel d’un bleu pâle, presque maladif, bouillonne de petits nuages d’un gris crémeux. Le bruissement maritime des oliviers, qui frissonnent sous un léger vent d’autan blanc, est couvert par leurs hurlements rieurs.
Tristesse. Mélancolie. Soupir. Un gros. Dans cinquante ans, peut-être moins, assistés par des exosquelettes, ils seront tous numérisés jusque dans leurs désirs. Leurs souvenirs seront ceux que leur allouera une intelligence artificielle. Leur quotidien sera d’un ordonnancement pragmatique, leur sexualité sous la dépendance d’une machine orgasmique et ils n’auront plus de la Nature, qu’une idée virtuelle. Les LGBTQIA+ seront la norme. Des mutants, à qui tu n’auras absolument rien à dire. et toi, « femelle blanche alpha » ne sera plus qu’un souvenir.

© L’Ombre du Regard Ed., Mélanie Talcott –21/04//2023 .
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Notes
1. – https://destinationsante.com/virus-sv40-et-vaccin-polio-le-risque-de-cancers-ecarte.html
https://www.lequotidiendumedecin.fr/archives/vaccin-antipoliomyelitique-et-virus-sv40-davantage-detudes-sont-requises
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15322523/
2.https://www.leparisien.fr/societe/sante/en-tete-des-ventes-et-des-fake-news-le-business-des-livres-classes-antivax-18-03-2023-4QIS2Z54FFAU3HU4KSFDTG3WEI.php
https://www.lepoint.fr/sante/alexandra-henrion-caude-ou-la-vaccination-selon-jesus-29-03-2023-2514112_40″

https://www.breizh-info.com/2021/05/27/165040/le-face-a-face-explosif-entre-alexandra-henrion-caude-et-le-dr-cohen-au-sujet-des-vaccins/
https://www.lexpress.fr/sciences-sante/les-apprentis-sorciers-alexandra-henrion-caude-ou-lart-de-tordre-les-faits-scientifiques-QU6GEVU7O5GSLB7ZW23EDWCBEY/
https://www.liberation.fr/checknews/la-fnac-agitateur-de-complotisme-20230325_QI3ZYC72HREJ5C7KUBJMZRVYAA/
3.https://www.heidi.news/cyber/un-vaccin-sans-ogm-ni-pesticide-pour-les-pommes-de-terre#:~:text=L%27ARN%20messager%20permet%20de,d%27une%20protéine%20très%20spécifique
Après le vaccin, l’ARN va-t-il révolutionner l’agriculture? C’est en tout cas le pari d’une startup américaine, qui prépare un spray pour protéger les pommes de terre. La startup est en phase avancée d’homologation par l’agence de l’environnement américaine (EPA) d’une technologie à ARN destinée à remplacer dès 2023 les pesticides chimiques pour détruire de manière ciblée, biologique et sans résidus les doryphores qui ravagent les pommes de terre.
-https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-billet-sciences-du-week-end/bientot-des-vaccins-a-manger_4993140.htm
Bientôt des vaccins dans notre alimentation ? Sans rire, c’est le projet sur lequel travaille une équipe de l’université de Californie : transformer des plantes comestibles en vaccins à ARN, en insérant l’ARN visé, au cœur des cellules de la plante. De quoi éviter les injections, et surtout la lourde chaîne du froid pour transporter et conserver les vaccins.

X. – Ce livre aura pour titre Dis moi Deep Blue et sortira en 3 volumes illustrés, format A4. Un ami médecin a eu à aider un adolescent, Miguel, le protagoniste du livre, qui a vu sa vie bouleversée à dix-huit mois suite à une vaccination. Toutes mes recherches sont parties de cette rencontre. Deep Blue (clin d’œil au joueur d’échecs Kasparov) est un lutin qui peut remonter dans le passé et se projeter dans le futur. De leur amitié, naît un pacte : enseigner à Miguel pourquoi il est devenu « une montre cassée ». Pour ce faire, Deep Blue va lui raconter à travers de multiples discussions à bâtons rompus avec des scientifiques et des médecins d’hier et d’aujourd’hui, l’origine de la vie, la signification des maladies (selon Marcel Sendrail), ce qu’est une bactérie, un virus, l’ADN, l’ARN, comment fonctionne notre système immunitaire, l’histoire des vaccins (Jenner, Pasteur, Béchamp, etc..), leur conception, leur composition, leur efficacité et leurs effets indésirables, etc.. Le tout référencé. Une précision : le récit se veut ludique afin que tout le monde puisse le comprendre.

 

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